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Manifestation en soutien aux femmes d’Afghanistan

15 Sep

Nous vous relayons l’appel signé par Femmes solidaires, pour une manifestation en soutien aux femmes d’Afghanistan

POUR LES DROITS DES FEMMES, LA PAIX, LA LIBERTÉ ET L’ÉGALITÉ EN AFGHANISTAN, SOUTENONS LA RÉSISTANCE CONTRE LES TALIBANS

Rassemblement dimanche 19 septembre à 13h30
Place de la République

Le 23 novembre, nous marcherons contre toutes les violences sexistes et sexuelles !

20 Nov

Femmes Solidaires participera à la marche #NousToutes contre les violences masculines.
Départ collectif de Fontenay : RDV à 13h30 devant le RER Fontenay-sous-Bois

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Le 23 novembre, nous marcherons contre toutes les violences sexistes et sexuelles !

Tribune collective parue dans Le Monde
Le 25 novembre, c’est la journée internationale de lutte contre les violences masculines, et cette année encore, nous marcherons. Nous marcherons le samedi 23 novembre, à Paris à la marche organisée par le collectif #Noustoutes, et dans toute la France, pour crier notre colère contre l’impunité des hommes, coupables de violences contre les femmes et les filles.

Ce que nous voulons, c’est crier. Et dans ce cri, il y aura les cris des 94.000 femmes violées et les pleurs des 225.000 femmes victimes de violences conjugales chaque année en France. Et bien pire encore : au centre de ce cri, il y aura le son assourdissant du silence des 136 femmes déjà tuées en 2019, victimes de féminicides, et celui de toutes les femmes que les violences masculines ont détruites ou poussées au suicide.

Ce que nous voulons, c’est hurler. Et dans ce hurlement, il y aura la souffrance des 4 millions de femmes et hommes victimes d’inceste, il y aura le cri silencieux des 165.000 enfant.es violées chaque année en France, dans une quasi-totale impunité (0,4% des violeurs pédocriminels, et 1% des violeurs seront condamnés).

Ces chiffres ne sont pas que des statistiques, c’est un pouvoir réel, concret, des hommes sur les femmes. La domination masculine, ce sont les hommes qui considèrent, en tant que classe, avoir le droit de considérer les femmes et les enfants comme des objets, avoir le droit de se les approprier, de les frapper, de les violer, de les acheter et de les vendre. Les conséquences psycho-traumatiques de ces violences sont aussi massives que l’impunité des hommes coupables.

« L’inceste est la filière de recrutement » de la prostitution, rappelait Andrea Dworkin (42% des femmes en prostitution sont des victimes de pédocriminels); parce qu’ayant subi des violences sexuelles, beaucoup de filles et de femmes sont contraintes à des mécanismes de dissociation psychotraumatique pour survivre et avoir l’impression de prendre le dessus. Lorsque des hommes imposent des actes sexuels à des filles et à des femmes, par l’emprise de l’argent, par la terreur des proxénètes et des pornocrates, ce ne sont rien d’autre que des viols tarifés. La loi abolitionniste de 2016 qui dépénalise les personnes en prostitution, et qui renforce la lutte contre les proxénètes et les « clients » prostitueurs doit être appliquée partout en France. Le « consentement » ne devrait pas s’acheter, le désir et la volonté ne le peuvent jamais. Il ne peut y avoir de lutte efficace contre les violences sans dénoncer ce continuum des violences masculines.

Pourquoi est-ce si lent ? Les femmes n’ont pas le temps d’attendre. Nous voulons que le Grenelle contre les violences conjugales débouche sur des mesures concrètes, transversales à toutes les violences faites contre les femmes, et dotées du budget nécessaire. Nous voulons que la “grande cause du quinquennat” signifie politique publique ambitieuse, avec une méthode, des mesures, des moyens, ainsi qu’une évaluation systématique et transparente des dispositifs mis en place.

Contre toutes les violences masculines, contre toutes les violences, en particulier celles que commettent des hommes sur des femmes lesbiennes, des femmes victimes de racisme, des mères, des filles, des femmes parmi les plus précaires, des femmes en situation de handicap, pour l’universalité des droits fondamentaux des femmes, contre le système prostitueur et pornocriminel, nous marcherons le 23 novembre !
Organisations signataires : 

Isabelle Aubry, AIVI; Marie-Hélène Franjou, Amicale du Nid; Marie-Noelle Bas, Chiennes de garde; Marie-Josephe Devilliers, CIAMS; Suzy Rotjman, CNDF; Marie-Claude Bertrand, CNFF; Emmanuelle Piet, Collectif Féministe contre le Viol; Catherine Morin Le Sec’h, CQFD Lesbiennes Féministes; Florence Montreynaud, Encore Féministes !; Françoise Brié, Fédération Nationale Solidarité Femmes; Inna Shevchenko, FEMEN; Claire Desaint, Femmes pour le Dire, Femmes pour agir; Sabine Salmon, Femmes Solidaires; Yves Scelles, Fondation Scelles; Lilian Halls-French, Initiative Féministe EuroMed; Jocelyne Adriant-Mebtoul, La CLEF; Claudie Lesselier, Maison des femmes de Paris; Nelly Martin, Marche mondiale des femmes; Murielle Salmona, Mémoire Traumatique et Victimologie; Claire Quidet, Mouvement du Nid; Céline Piques, Osez le Féminisme !; Marion, Pépite sexistePlanning Familial 94; Catherine Quentier, RAJFIRE; Michèle Vianès, Regards de femmes; Monique Dental, Réseau féministe Ruptures; Huguette Klein, Réussir l’Égalité Femmes-Hommes; Gérard Biard, Zéro Macho.
Personnalités signataires :

Fatima Benomar, Co-fondatrice des effrontées; Hélène Bidard, Adjointe à la Maire de Paris, en charge de l’égalité femmes/hommes et la lutte contre les discriminations; Danielle Bousquet, Présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (2013-2019); Margaux Collet, autrice; Catherine Coutelle, ex-députée et présidente de la délégation  aux droits des femmes (2012-2017); Typhaine D, autrice, comédienne féministe, Caroline De Haas, militante féministe; Christine Delphy, sociologue et directrice de recherches CNRS; Claire Guiraud, militante féministe; Ghada Hatem-Gantzer, médecin-chef de la Maison des femmes; Rosen Hicher, survivante de la prostitution et militante féministe; Mie Kohiyama, présidente de “Moi aussi Amnésie”; Marie Laguerre, militante féministe; Coralie Miller, autrice, metteuse en scène; Maud Olivier, ex-députée, rapporteure du projet de loi contre le système prostitueur; Raphaëlle Remy-Leleu, autrice; Laurence Rossignol, Sénatrice, ex-Ministre des droits des femmes, présidente de l’Assemblée des femmes.

(*) Texte d’appel inspiré par le discours “Je veux une trêve de 24h durant laquelle il n’y aura pas de viol” d’Andréa Dworkin, pionnière de la lutte contre les violences masculines et du système porno-prostitutionnel.

APPEL Européen pour le droit à l’avortement dans toute l’Europe !

28 Sep

APPEL Européen pour le droit à l’avortement dans toute l’Europe !

Mobilisations partout en Europe : Jeudi 28 septembre 2017 à 18h30 Place de la République à Paris

En solidarité avec l’ensemble des femmes européennes, après la lutte exemplaire des femmes espagnoles en 2014, polonaises en 2016, nous exigeons que les droits des femmes, la liberté à disposer de son corps, le droit à l’avortement et à la santé soient respectés dans tous les pays européens et inscrits comme droits fondamentaux pour l’égalité en Europe.
Aujourd’hui, le droit à l’avortement au sein de l’Europe relève de la compétence de chaque Etat.
Interdit en Irlande et à Malte, sous hautes contraintes en Hongrie et en Pologne. le droit à l’avortement, même légalisé est, peut ou pourrait être remis en question par le maintien de la clause de conscience des médecins (Italie), l’absence de structures hospitalières adéquat (Grèce, Bavière), les restrictions de personnels et les suppressions des centres pratiquant l’avortement lors de restructurations hospitalières (France), et, dans tous les pays, par l’élection de gouvernements réactionnaires, conservateurs et rétrogrades.


Nous réaffirmons que :
• L’accès à l’avortement est un droit ;
• L’avortement est un choix personnel – mon corps m’appartient, je choisis ma vie ;
• Des moyens financiers doivent être donnés pour que les centres pratiquant l’avortement et les centres de planification soient accessibles à toutes sur les territoires ;
• Des campagnes tous publics sont nécessaires ;
• L’éducation à la vie sexuelle doit être prodiguée à toutes et à tous pour qu’elles et ils puissent avoir des choix libres et éclairés;
• La formation aux techniques d’avortement et à l’accompagnement doit faire partie intégrante de la formation initiale des professionnel/les de santé ;
• La clause de conscience des professionnel-les de santé doit être supprimée ;
• Les délais légaux pour avorter doivent être harmonisés sur ceux des pays les plus progressistes en Europe et les États doivent dépénaliser totalement l’avortement.
Nous appelons à la construction d’une mobilisation européenne autour du 28 septembre 2017, journée internationale du droit à l’avortement, où chaque pays inscrira ses revendications en vue d’une harmonisation européenne pour le respect des droits des femmes.


Les actions ville par ville : participer à la mobilisation http://avortementeurope.org/les-actions-du-28-septembre-201…
Les autres actions : vous aussi, mobilisez-vous !
Signer la pétition : « Pour le droit à l’avortement partout en Europe ! » https://www.change.org/p/les-gouvernements-des-pays-d-europ…

Loi travail: les droits des femmes passent (aussi) à la trappe

7 Sep

Loi travail: les droits des femmes passent (aussi) à la trappe!

Tribune collective 

Emmanuel Macron l’a promis. Les femmes seront la grande cause nationale du quinquennat. Il est élu depuis à peine 150 jours et il a déjà réussi à se faire mentir 3 fois. Une première fois  avec la nomination du gouvernement et l’absence de ministère dédié. Une deuxième fois cet été, avec la baisse de 27 % du budget du Secrétariat d’État à l’Égalité. Une troisième fois avec la Loi Travail n°2.

Comme souvent, des textes apparemment « neutres » ont en réalité des conséquences nettes sur les inégalités. Réforme des retraites, de l’assurance maladie ou du Code du travail : toutes ces réformes qui visaient l’ensemble des salarié.e.s ont eu un impact différent sur les femmes et les hommes. Étonnant ? Pas tant que ça. Lorsque vous proposez une réforme dans un pays comme la France, où les inégalités professionnelles sont fortes (26 % d’écart de salaire), la réforme est rarement neutre ou sans effet. Soit elle aggrave la situation et augmente les inégalités, soit elle s’attaque aux inégalités et les fait reculer.

Les ordonnances rentrent dans la première catégorie. Les salarié.e.s les plus touché.e.s par la réforme sont ceux en CDD ou travaillant dans des petites entreprises. Deux catégories où les femmes sont surreprésentées. Plusieurs mesures vont donc peser particulièrement sur les femmes et accroître les inégalités professionnelles.

L’inversion de la hiérarchie des normes renvoie à l’entreprise la définition de nombreux droits, et notamment les droits familiaux. Les congés enfants malades pris en immense majorité par les femmes, l’allongement du congé maternité et le maintien de la rémunération à 100%, l’allègement du temps de travail des femmes enceintes… tous ces droits, prévus jusqu’alors dans les conventions collectives de branche, pourront être demain remis en cause par accord d’entreprise. C’est le cas également des primes d’ancienneté, de départ en retraite ou de licenciement.
Le gouvernement affaiblit les outils de l’égalité professionnelle en entreprise. La loi prévoit aujourd’hui une négociation annuelle « égalité professionnelle qualité de vie au travail » et oblige l’entreprise à fournir des données aux salarié.e.s sur les inégalités professionnelles femmes – hommes. Ces données sont celles de l’ancien Rapport de Situation Comparée, issu de la première loi sur l’égalité professionnelle de 1983 (loi Roudy). Ces données sont désormais intégrées dans la base de données économiques et sociales. Les entreprises qui n’ouvrent pas cette négociation et ne fournissent pas ces données peuvent être sanctionnées. Les ordonnances permettront, par accord d’entreprise, de changer le contenu de la négociation, de choisir les données sur l’égalité à transmettre (ou non), et de passer d’une négociation annuelle à une négociation quadriennale…Voire de ne pas négocier du tout.

Il sera désormais possible d’imposer, par accord d’entreprise, des clauses de mobilité sans que la loi ne fixe de limite géographique ni d’obligation de prendre en compte la situation familiale des salarié.e.s. Idem pour des modifications d’horaires et de temps de travail ou encore des baisses de salaires. Les femmes, plus souvent à temps partiels, plus souvent précaires, à la tête de familles monoparentales et prenant en charge une immense partie des tâches parentales seront particulièrement pénalisées par ces mesures. Le premier argument invoqué par les femmes qui se retirent du marché du travail est l’impossibilité de remplir leurs responsabilités familiales du fait des horaires atypiques qui leur sont imposés. Les ordonnances ne risquent pas de les aider.

La disparition du CHSCT (le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) prévue par les ordonnances va avoir un impact sur la prévention des violences sexuelles au travail. 20% des femmes déclarent avoir déjà subi du harcèlement sexuel sur leur lieu de travail. 5 ans après l’amélioration de la loi sur le harcèlement sexuel, le gouvernement décide de faire disparaître l’instance dédiée à la santé et la sécurité au travail.

Exit enfin le droit d’expertise dédié à l’égalité femmes – hommes, gagné en 2015, qui aidait élu.e.s et syndicats à identifier et comprendre les sources des inégalités. Auparavant à charge de l’employeur, ce droit d’expertise devra désormais être co-financé par le comité d’entreprise. Du fait de son budget limité, celui-ci devra faire des choix. Et souvent, dans ce cas, l’égalité passe au second plan.
Les ordonnances ne sont pas neutres. Elles vont accroître les inégalités professionnelles. Emmanuel Macron, Marlène Schiappa, votre grande cause nationale commence mal. Changez de cap, ne bradez pas les droits des femmes aux exigences du MEDEF, retirez ces ordonnances.

Les féministes l’exigeront dans la rue avec toutes et tous !

Liste des signataires : https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/060917/loi-travail-les-droits-des-femmes-passent-aussi-la-trappe

 

Marche pour la paix

21 Sep

Aujourd’hui 21 septembre, c’est la « Journée Mondiale de la Paix ».
Femmes Solidaires participera avec plus de 70 organisations, samedi 24 septembre à Paris, à la Marche pour la Paix « Pour la Paix – stop la guerre – stop les violences ».
Femmes Solidaires est signataire de l’Appel « en Marche pour la Paix ».
A Paris, rdv à 15 H – Place de la République puis marche jusqu’au métro Stalingrad (Bd Magenta, rue du Faubourg St Martin et rue Lafayette)

dclaration-femsol-marche-paix-24-sept-2016-1

Soutenons Jacqueline Sauvage !

21 Jan
La campagne pour obtenir la grâce présidentielle pour Jacqueline Sauvage continue. Condamnée à 10 ans de prison pour avoir abattu son agresseur et mari après 47 ans d’abus et de violences, Jacqueline Sauvage est actuellement incarcérée.

Femmes solidaires réitère son indignation face à la condamnation de la victime, qui a subi, ainsi que ses filles, l’insoutenable pendant des décennies.

Nous soutenons la pétition qui appelle le président François Hollande à gracier Jacqueline Sauvage.

Pour soutenir financièrement Jacqueline Sauvage et lui permettre de cantiner en prison : https://www.lepotcommun.fr/pot/75tthd5a

Pour signer la pétition : https://www.change.org/p/fran%C3%A7ois-hollande-accordez-la-gr%C3%A2ce-pr%C3%A9sidentielle-%C3%A0-jacqueline-sauvage

Une manifestation se tiendra ce samedi 23 janvier à 10h30, Place de la Bastille à Paris pour continuer de soutenir Jacqueline Sauvage et sa famille, et demander sa libération.

Manifestation le 8 mars 2015

26 Fév
affiche 8 mars MMF
Nous vous invitons à participer à la manifestation unitaire organisée par la Marche Mondiale des Femmes 2015, pour porter haut et fort nos revendications à l’occasion de la Journée internationale des Droits des femmes.
LE DIMANCHE 8 MARS 2015  à  14 H 30  à la  REPUBLIQUE à Paris.
Femmes solidaires sera dans le cortège qui portera la lutte » contre l’extrême-droite, le FN, contre tous les extrémismes religieux ».
Le tract : logo-pdf2TRACT MMF
Le lien vers l’évenement facebook : https://www.facebook.com/events/800573523323201

La loi sur l’avortement a 40 ans, en avant toute pour les droits des femmes, nous devons continuer le combat !

17 Jan

17 janvier 1975 – 17 janvier 2015, la loi sur l’avortement a 40 ans.

Femmes solidaires appelle à participer à la manifestation nationale organisée par le CNDF, le 17 JANVIER 2015 à Paris « La loi sur l’avortement a 40 ans, en avant toute pour les droits des femmes, nous devons continuer le combat ! »
Le rendez-vous est fixé à 14 h 30 à la Bastille.

En 1975, on s’est battues pour de nouveaux droits…
En 2015, il est grand temps de reprendre la rue! 

En avant toutes: le 17 janvier 2015, 14h30 à la Bastille! 

Le tract ici : Tract 17 janvier 2015

8 mars 2014 : Nos droits avancent, nos corps reculent…

7 Mar

Vous pouvez télécharger ci-dessous le communiqué de presse de Femmes Solidaires, à l’occasion du 8 mars 2014, « Nos droits avancent, nos corps reculent » :

logo-pdf2cp 8 mars 2014

Par ailleurs, les Femmes solidaires appellent à la manifestation nationale pour la Journée internationale des droits des femmes :
TOUTES ET TOUS DANS LA RUE POUR L’EGALITE  !
RDV des Femmes Solidaires  à l’Angle Beaumarchais et Bastille à  14 h, le samedi 8 mars à Paris.

Non à la régression des droits des femmes en Espagne et ailleurs !

29 Jan

Nous vous appelons à participer à la manifestation nationale le samedi 1 er février « Non à la régression des droits des femmes en Espagne et ailleurs ! »

Non à la régression des droits des femmes en Espagne et ailleurs ! Défendons le droit à l’avortement!

Les féministes espagnoles organisent une manifestation à Madrid le 1er février, mobilisons nous pour les soutenir.
Manifestons partout ensemble SAMEDI 1er FEVRIER 2014

Les Femmes Solidaires de Fontenay participeront à la manifestation parisienne :
14h – Paris – Place Joffre (École Militaire) jusqu’à l’Ambassade d’Espagne

Téléchargez le tract ici : Tract manifestation 1er février